Le troisième cycle de peuplement (XVIIIe siècle - Boa Vista, Maio, St. Vicente et Santa Luzia)

  • Démographie

En 1731 le pourcentage de la population de Boa Vista représentait 2% de la population de l’ensemble des îles, malgré le fait qu’elle soit la quatrième plus grande île. C’est à cette époque que s’est construite la première agglomération de l’île, Povoação Velha, la population a dès lors continué à croitre grâce à la recherche de sel par les bateaux étrangers. En 1800, on comptait 2 299 habitants à Boa Vista.

S’agissant de Maio, qui, comme Boa Vista, et avant les îles du Nord et Brava, était alors une île de forêt de chênes, dans laquelle paissaient des milliers de têtes de bétail qui était ensuite abattu et vendu par des marchands de bétail qui s’y déplaçaient annuellement selon la saison. C’est à cette époque que l’île a vu affluer des colonisateurs sédentaires, qui comptait cette année là 400 personnes.

C’est également à la fin du XVIIIe siècle que St. Vicente et même Santa Luzia reçoivent également des colonisateurs, tout particulièrement Mindelo qui est rapidement devenu le centre économique du Cap Vert grâce à son port et au charbon. Sa population, en plus de croître rapidement, est devenue cosmopolite et a attiré des personnes de sa voisine Santo Antão, mais également d’autres îles et même de pays étrangers.

En 1731 le pourcentage de la population de Boa Vista représentait 2% de la population de l’ensemble des îles, malgré le fait qu’elle soit la quatrième plus grande île. C’est à cette époque que s’est construite la première agglomération de l’île, Povoação Velha, la population a dès lors continué à croitre grâce à la recherche de sel par les bateaux étrangers. En 1800, on comptait 2 299 habitants à Boa Vista.

S’agissant de Maio, qui, comme Boa Vista, et avant les îles du Nord et Brava, était alors une île de forêt de chênes, dans laquelle paissaient des milliers de têtes de bétail qui était ensuite abattu et vendu par des marchands de bétail qui s’y déplaçaient annuellement selon la saison. C’est à cette époque que l’île a vu affluer des colonisateurs sédentaires, qui comptait cette année là 400 personnes.

C’est également à la fin du XVIIIe siècle que St. Vicente et même Santa Luzia reçoivent également des colonisateurs, tout particulièrement Mindelo qui est rapidement devenu le centre économique du Cap Vert grâce à son port et au charbon. Sa population, en plus de croître rapidement, est devenue cosmopolite et a attiré des personnes de sa voisine Santo Antão, mais également d’autres îles et même de pays étrangers.

Autoria/Fonte

Armando Ferreira

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