Danse

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Parallèlement aux genres musicaux ci-dessus décrits, on danse, au Cap Vert, sur des styles aussi divers que la morna, la coladeira et le funaná, les trois danses qui peuvent être considérées comme communes à tous les capverdiens, même dans la diaspora.

Mais il existe d’autres expressions de danse également appréciées et pratiquées, même si elles sont parfois plus localisées, comme le batuco, surtout enraciné à Santiago, le colá, plus vu à Boa Vista, à St. Vicente ou à Santo Antão, le talaia-baxo, le canizade ou le rabolo, à Fogo, ainsi que le landum, à Boa Vista, la xotice ou les européennes contredanse, mazurka et polka.

On remarque l’apparition de groupes de danse artistique, particulièrement la Raiz di Polón, dont les chorégraphies se sont imposées non seulement au Cap Vert mais également sur les scènes internationales.

Parallèlement aux genres musicaux ci-dessus décrits, on danse, au Cap Vert, sur des styles aussi divers que la morna, la coladeira et le funaná, les trois danses qui peuvent être considérées comme communes à tous les capverdiens, même dans la diaspora.

Mais il existe d’autres expressions de danse également appréciées et pratiquées, même si elles sont parfois plus localisées, comme le batuco, surtout enraciné à Santiago, le colá, plus vu à Boa Vista, à St. Vicente ou à Santo Antão, le talaia-baxo, le canizade ou le rabolo, à Fogo, ainsi que le landum, à Boa Vista, la xotice ou les européennes contredanse, mazurka et polka.

On remarque l’apparition de groupes de danse artistique, particulièrement la Raiz di Polón, dont les chorégraphies se sont imposées non seulement au Cap Vert mais également sur les scènes internationales.

Autoria/Fonte

Armando Ferreira

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